« Le poète Jan Skacel » de Reiner Kunze
« la toute dernière porte
si on regarde au-delà
une larme d’enfant revient
qui roule sous la paupière »
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4e de couverture
La lumière qui se diffuse à la surface de la poésie et de la prose tchèques provient assurément d’une mélancolie longuement supportée, d’un sourire fataliste raffiné, d’une colère qui attend son heure, d’un humour qui se libère lui-même.
Les poèmes du Morave Jan Skácel m’ont émerveillé durablement. Le critique Jan Trefulka place la poésie de Skácel au même rang que la musique de Leoš Janáček et décrit les deux œuvres comme « peut-être le dernier grand acte de création de la vieille Mitteleuropa en Bohême et en Moravie ».
Reiner Kunze