« Le poète Jan Skacel » de Reiner Kunze

« la toute dernière porte

si on regarde au-delà

une larme d’enfant revient

qui roule sous la paupière »

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15,00

Catégorie :

Traduction de l’allemand et du tchèque par Gwenn Darras et Alena Meas. Préface d'Yvan Guillemot.

116 pages au format 11,5 × 17 cm

déposées sur papier Olin Antalis

exposées sous couverture cartonnée

tranchefile et signet

ISBN : 978.2.8696.5197.5

novembre 2014

4e de couverture

La lumière qui se diffuse à la surface de la poésie et de la prose tchèques provient assurément d’une mélancolie longuement supportée, d’un sourire fataliste raffiné, d’une colère qui attend son heure, d’un humour qui se libère lui-même.

Les poèmes du Morave Jan Skácel m’ont émerveillé durablement. Le critique Jan Trefulka place la poésie de Skácel au même rang que la musique de Leoš Janáček et décrit les deux œuvres comme « peut-être le dernier grand acte de création de la vieille Mitteleuropa en Bohême et en Moravie ».

Reiner Kunze